Nous avons la tête remplie de nouveaux projets,
d’expériences fantastiques, de souvenirs, de bénédictions, d’indécisions, bref,
nous ne savons plus où donner de la tête.
Aujourd’hui, c’est une journée fériée, tout est fermé et la
réunion de service de ce matin est annulée (et les cloches de l’église voisine
ne cessent de sonner). J’en profiterai pour ne rien faire et ne rien faire,
sinon écrire ce message et aller dîner au resto avec Amélie.
Nous entrons tranquillement dans la saison des pluies et
nous en profitons. C’est pratiquement régulier maintenant, dès la tombé du jour
le ciel se charge tranquillement de nuages noirs et bleus et en à peine quelques
heures tout ce réservoir nous tombe sur la tête. En fait c’est la pluie et le tonnerre
qui nous tombe sur la tête accompagnée de dizaines d’éclairs à la minute. Ça
nous réjouit de voir enfin la pluie, car
(sans vraiment nous plaindre) la chaleur est devenue presque trop accablante
ici à Sucre. Nous avons eu du 28/29 degrés Celsius la semaine dernière. En fait
ce n’est pas tant la chaleur qui nous accable, mais surtout la puissance du soleil.
À 2750 mètres d’altitudes, le soleil nous brûle littéralement la peau, ça
chauffe vraiment. Donc, comme tous les Boliviens nous aussi nous avons développé
nos réflexes et changeons de trottoirs à chaque 50 pieds en fonction de l’ombre
disponible.
Nous avons aussi vu il y a 2 jours plusieurs petits
monstres, vampires et Spiderman dans les rues de Sucre. L’Halloween fait ses
disciples partout dans le monde. Contrairement au pays d’Amérique du Nord, les
enfants défilaient surtout dans les rues ou les parcs plutôt que de porte en porte à demander leur
dû. Les plus grands ont eux aussi profité de l’événement pour se déguiser et
surtout faire la fête dans les bars de la ville. Comme quoi rien ne change de
ce côté là. Ce qui nous a surtout surpris ce fut la journée d’hier, 1er novembre.
Le tout Sucre s’était donné rendez-vous. Dès 8 :00 le matin jusqu’à tard
dans la nuit les gens se rendaient au cimetière pour rendre hommage à leurs
morts (impossible de prendre un micro pour se déplacer en ville tellement ils
étaient remplis). Accompagnés de leurs offrandes c’étaient des milliers de gens
que nous avons vus défilés. Au moins le bon côté de l’affaire (si je puis dire)
c’étaient les dizaines et dizaines de ‘stands’ de nourritures, de jus, de
fleurs qui s’étaient installés aux abords du cimetière. Ça sentait bon les
grillades…!
Sur un autre sujet, à partir de demain (3 novembre) la
congrégation AMERICA sera officiellement notre nouvelle congrégation. Nous
étions pendant des semaines (après le passage du surveillant de
circonscription) dans l’attente d’une réponse du Béthel à savoir si oui ou non
une 7e congrégation sera formée à Sucre. Au alentour du 15 d'octobre les
lettres sont arrivées et le stress avec. Le Bethel de Bolivie avait accepté la
formation de cette nouvelle congrégation. Évidemment, je me sens vraiment
vraiment privilégié d’y servir comme coordinateur, néanmoins après des semaines
de travail et de décisions (dizaines et dizaines d’appels et de textos aussi)
je me rends surtout compte que tout cela est avant tout le résultat de la
bénédiction de Jéhovah. Tout ces frères et sœurs venus de l’étranger pour
appuyer l’œuvre mondiale aux dépens de grands sacrifices, ces jeunes frères de
la congrégation qui forcément auront beaucoup plus de responsabilités, ces 23
pionniers permanents qui devront s’adapter aux nouveaux horaires de
prédications, nous tous qui devront nous séparer de nos études bibliques, de
nos amis que nous avions dans la congrégation voisine, tous ces sacrifices sont
réellement la preuve de la bénédiction de Jéhovah. Nous sommes heureux de vivre
tout ça ici en Bolivie.
-Il y a également eu l’école des pionniers les 2 semaines
passées, ici à Sucre, dans notre salle du royaume. Ils y avaient près de 35
élèves venus de Potosi, Oruro et Sucre. Nous avons eu le plaisir d’être invités
Amélie et moi à prêcher avec les étudiants mercredi de la semaine dernière.
Nous devions saisir toutes les occasions pour donner le témoignage de façon non
organisé. Sur la rue, au parc, dans les commerces, aux gens qui attendaient
dans leurs voitures, etc. Quelle matinée! Je ne sais pas pourquoi, mais dans ce
contexte c’est incroyable le zèle que tous nous pouvons avoir! Nous sommes
revenus une heure et demie plus tard pour partager nos expériences. Un frère
étranger a raconté comment il a pût sans trop de difficulté entrer dans un
poste de police généralement inaccessible. Ensuite, affamé, nous avons pût
profiter du repas du midi. Une autre belle journée! Petite anecdote :
Notre congrégation devait organiser deux repas durant les 2 semaines de cours.
Le dernier jour de l’école, soit le vendredi, le repas a été organisé par sœur
Doucet du Québec. Au menu c’était CHILI accompagné d’un petit pain de MAÏS, de
salade et pommes de terre (évidemment, un repas en Bolivie sans pommes de terre
est impensable). De savoir que le repas était en partie cuisiné par des
étrangers (Canada, USA, France) a rendus les étudiants fous d’impatience.
Plusieurs n’avaient jamais mangé de CHILI. Ils ont dévoré la salade et le
désert a été envalé dans le temps de le dire. Succès sur toute la ligne!
Honnêtement, j’ai tellement de choses à raconter que je ne
sais plus par où continuer. Néanmoins, avant de revenir sur l’assemblée de
district que nous avons eu il y a déjà plus d’un mois (comme promis), voici un
fait de prédication intéressant que nous avons vécu cette semaine.
Mercredi dernier, accompagné de frère Doucet, nous avons
entrepris de visiter les écoles de Sucre en ayant pour objectifs de leurs
offrir l’article du Réveillez-vous du mois d’octobre (Como aprovechar al maximo
la escuela). À tour de rôle, nous demandions la permission de rencontrer la
directrice de l’école dans le but de lui partager une information spéciale. Une
fois dans son bureau, nous ne prenions que quelques minutes pour lui expliquer
notre œuvre bénévole en faveur de la communauté et ensuite lui montrer le
contenu de l’article et les bienfaits que pourraient en retirer les parents,
les professeurs et les étudiants. En une matinée, nous avons réussi à visiter 8
écoles et avons laissé 72 exemplaires. Une directrice nous a même remerciés à
plusieurs reprises d’être venu et du travail exemplaire que nous faisions. Ce
qui est intéressant, c’est que sur les 8 écoles seulement 5 ont accepté l’article.
Les 3 autres écoles qui n’ont pas accepté le Réveillez-vous l’on fait pour
diverses raisons que nous n’avions pas imaginé. Par exemple une secrétaire nous
a mentionné que comme nous étions dans une école très catholique, aucun contenu
venant d’une autre confession religieuse (aussi bon soit-il) n’était admissible.
Une autre nous a également refusé l’entrée non pas à la directrice, mais à la
mère supérieure. En sont absence nous n’avions d’autres choix que de revenir un
autre jour. Et pour finir, une directrice à refuser de prendre l’article,
préférant nous donner l’occasion de revenir mercredi prochain dans le but
d’expliquer le contenue et les bienfaits des conseils de l’article à tous les
professeurs qu’elle prendra soin de réunir. À suivre!
Assemblée de district 2012.
Heureusement que j’avais pris quelques notes, car déjà les
événements encourageants et insolites de ce merveilleux festin spirituel
commencent à m’échapper.
Honnêtement, ce n’est pas l’assemblée où j’ai le plus profité du programme préparé. J’ai
malheureusement échappé beaucoup de paroles prononcées, raté beaucoup de
démonstrations et à peine vu le drame biblique. Ça m’attriste beaucoup. Je me
console au moins de savoir que nous avons dernièrement reçu le programme entier
de cette assemblée en DVD. J’ai aussi reçu le même programme en MP3 d’un frère
de France (que j’ai d’ailleurs commencé à profiter). Néanmoins, le privilège
que j’ai eu à cette assemblée fut une merveilleuse bénédiction de Jéhovah. Tout
d’abord comme membre du comité d’assemblée je n’avais au grand jamais imaginé
les heures et les heures de travail qu’il pouvait y avoir derrière une
assemblée de cette envergure. Les frères responsables de ces rassemblements si
joyeux méritent vraiment notre reconnaissance et notre soutien.
En charge du département du service d’accueil j’ai pu me
rendre compte de l’énormité de la responsabilité. Accompagné de Richard (QC) et
Philippe (France) (le trio français qu’ils nous appelaient) nous avons pendant
les 3 jours de l’assemblée (+ le travail effectué les jours avant) dépensée tout
notre temps à gérer les horaires, les estrades (sièges réservés), la sécurité
durant le jour et la nuit, les réunions spéciales (Béthel et Couples), les
entrées et sorties, le compte de l’assistance, le bureau du président, de l’administration
et de la comptabilité, le baptême, la distribution des publications, etc. Ce
fut un feu roulant. Nous étions en constant déplacement. Nous étions
constamment sur nos téléphones. Heureusement que nous étions 3, car comme nous
avions accès à une diffusion vidéo du programme nous pouvions à tour de rôle
nous concentrer sur ce qui était dit de l’estrade. Néanmoins, les situations
encourageantes et insolites que nous avons vécues nous ont fait réaliser à
quels points il s’en passe des choses inconnues des assistants. En voici un
bref aperçu.
-Pour la première fois, nous avions loué pour notre
assemblée de district un magnifique stade d’une capacité de plus de 12000
sièges sur 3 niveaux. Bien tassé, c’est effectivement le nombre de personnes
qui peuvent s’asseoir sur les rangées de béton de ce stade. Néanmoins, pour le
confort des assistants nous avons séparé le complexe en deux pour n’utiliser
que les sièges nécessaires pour accueillir les près de 1850 assistants. Bon ce n’était pas le confort du Canada, mais
avec une rangée libre en avant de soit, un peu d’espace entre chaque assistant
ça permettait de s’étendre un peu les jambes et de profiter pleinement du
programme.
-Certains frères ont aussi été d’une grande aide.
Malheureusement, par manque de frères disponibles, il nous arrivait souvent de
demander à certains de combler deux quarts par jour. Par exemple un frère
pouvait commencer à 7 :30 le matin au service d’accueil de la porte
d’entrée principale du stade et ensuite se retrouver de 14 :30 à
18 :00 à la sécurité de la
comptabilité. Ça compliquait un peu les choses. Également, comme certains
frères en étaient à leurs premières assignations nous devions à quelques reprises
leur rappeler quelques consignes, par exemple qu’ils ne devaient pas quitter
leurs assignations avant la fin de leurs quarts. L’esprit volontaire des frères
nous a beaucoup impressionnés. Tous avaient vraiment le désir de se rendre
utiles.
- Nous avons eu 33 baptêmes. Également plus de 70 personnes se
sont présentées à la réunion pour les couples mariés.
- Un matin, j’ai rencontré et put jaser un peu avec une
étude biblique d’une sœur de notre congrégation (plus précisément du groupe isolé
de Villa Serrano). La dame accompagnée de sa fille de moins d’un an s’était
levée le vendredi matin à 3 :30am pour ne pas rater le minibus de 4 :15am.
Après près de 4 heures et demie de route dans ce transport inconfortable, elle
a rejoint le stade, prêt pour le début du programme à 9 :30am. Elle a
assisté aux 3 jours de l’assemblée. J’ai aussi eu le plaisir d’aider cette autre étudiante de la Bible, accompagné de ses 4 garçons (le plus vieux devait avoir
5 ans et le plus jeune quelques mois) à gravir les étages et lui trouver un
siège pour elle et ses enfants. Ils sont restés et ont écouté tout le programme
de la journée. Plusieurs autres étudiants de la Bible ont également parcouru de
longues distances pour venir profiter du programme.
-La congrégation avait prévu, une semaine avant l’assemblée,
se rendre à la Plaza 25 de mayo (la plus grande de Sucre) pour y placer l’invitation pour l’assemblée de district sur une grande affiche plastique. Le
témoignage a été donné sans même un mot.
-Pour assurer la sécurité du stade durant la nuit, nous avions
demandé à 4 jeunes (moins de 20 ans) de Potosi (ville située à 2 ½ heures de
Sucre). Pendant 3 nuits ces jeunes hommes ont dormi sur le plancher du stade,
avec couvertures et coussins. Le matin ils se changeaient à la toilette, prêt pour une nouvelle journée.
-Nous avons aussi vu la main de Jéhovah agir directement sur
un événement important. La semaine avant le début de l’assemblée, la province
de Chuquisaca (Sucre, Potosi) était prise avec des problèmes de protestations
et de grèves des miniers de la région. En signe de manifestation, les milliers
de miniers avaient décidé de bloquer les routes et paralysés les transports et
services. Plus personnes de pouvait se déplacer. Les frères de Potosi qui
avaient loué des bus ou qui devaient voyager en voiture s’inquiétait de ne pas
pouvoir assister à leur assemblée. Le départ pour Sucre avait été organisé des
semaines à l’avance pour le mercredi précédant l’assemblée en début de soirée.
Les frères qui s’étaient préparés au pire avaient même écrit quelques lettres a
présenté aux miniers pour leur demander une autorisation spéciale de passage.
Finalement ils n’ont pas eu à les utiliser, car de façon spontanée et
surprenante le syndicat des miniers a décidé d’organiser une marche de
protestation dans la ville de Potosi le jour même du départ des frères pour
Sucre. Les barrages ont été levés en début d’après-midi le mercredi et c’est
ainsi que les frères ont pu passer leur chemin et sont arrivés à Sucre sans
aucune difficulté. Le lendemain les routes ont été de nouveau bloquées.
-Le dimanche après-midi, nous avons dû avoir plus de 300 visiteurs pour la représentation du drame.
C’était agréable à voir. Nous avons même dû ouvrir une section supplémentaire
pour asseoir tous ces gens.
- J’ai également appris avec surprise et admiration que certains
frères de la circonscription s’étaient portés volontaires comme orateur pour aller
donner un ou plusieurs discours lors des autres différentes assemblées de
district dans des régions éloignées. Par exemple, un ancien de notre
congrégation a fait avec son épouse plus de 40 heures de bus pour aller donner
2 discours dans le nord de la Bolivie.
-Anecdotes : Comme le département du service d’accueil
était situé juste à l’entrée principale du stade nous avons eu à quelques
reprises à gérer de drôles de situations. Par exemple, vers la fin du vendredi
matin nous avons vu entrer 6/7 ‘Cholitas’ (Boliviennnes, indigènes, qui portent
des vêtements représentatifs et leurs couvertures colorés) se dirigeant dans
les couloirs du 2e étage. Elles avaient toutes un ballot sur le dos
contenant chaudrons et ustensiles. En fait tous leurs nécessaires pour vendre
nourriture et breuvages aux frères et sœurs sur l’heure du midi. C’était
immanquable, entre 8 et 9 heures le matin, plusieurs vendeurs venaient
installer leurs kiosques devant la porte principale pour vendre breuvage et
nourriture. Bon, ça pouvait être pratique, mais malheureusement ce n’était pas
toujours facile, car certains étaient très très déçus de se voir renvoyer à
l’extérieur des installations du stade. Nous avons aussi eu à renvoyer un
joueur de tennis venu se pratiquer sur un des murs du stade, ainsi que plusieurs
enfants venu jouer au soccer, sinon venu faire quelques pirouettes en
bicyclette. Nous avons aussi eu quelques chèvres récalcitrantes qui tenaient absolument
à entrer dans les couloirs du stade. Certains visiteurs nous ont également mis
en alerte. Si ce n’était pas un ou 2 hommes en état d’ébriété, c’était un
groupe de jeunes enfants qui nous assuraient qu’ils désiraient entrer et
écouter le programme pour en ressortir une demi-heure plus tard. Ce n’est pas l’action
qui manquait!
-Il y a aussi eu plusieurs interviews vraiment touchantes et
encourageantes lors de cette assemblée. Par exemple, je pense a la jeune
Abigail, 14 ans, baptisé depuis l’âge de 11 ans et qui avec un aplomb
incroyable a affirmé à tout l’auditoire que l’année prochaine elle aura atteint
son objectif de servir comme pionnier permanent. Il y a aussi eu l’interview de
David, ce frère aveugle qui s’était fait baptiser le matin même de l’assemblée.
Aidé de ses notes écrites en braille, David nous a expliqué qu’il saisissait
toutes les occasions qui se présentaient à l’école pour prêcher à ses
camarades. Il conduit déjà plusieurs études bibliques et prêche un nombre impressionnant
d’heures par mois en prédication. Également, j’ai appris qu’il a pris l’habitude
de venir à la salle du royaume tout seul. Je ne vous dis pas, mais il habite
assez loin. Dès la sortie de son appartement, chaque pas est compté. Il sait où
et quand tourner, combien de rues à traverser. Tout est calculé et rien ne l’arrête.
-Enfin, je me souviens de cette petite fille qui après la
remise du DVD ‘Deviens l’ami de Jéhovah’ est venue au comptoir du service d’accueil
pour me demander si je n’avais pas une copie pour elle, car tous les
exemplaires s’étaient envolés en moins de temps pour le dire. Malheureusement,
comme moi-même je n’en avais pas une copie j’ai dû lui admettre qu’elle devrait
peut-être demander à quelqu’un d’autre ou sinon le visionner avec d’autres
jeunes de sa congrégation. Ma réponse n’a pas dû la soulager, car elle s’est mise
à pleurer. J’ai fait des pieds et des mains pour lui en trouver une copie mais
sans succès. Heureusement, le dimanche après-midi sa maman est venue me voir
pour me dire qu’un frère lui avait remis gentiment sa copie à son grand
bonheur.
Voilà!
Voilà!
Comme je pars ce soir à Oruro (8/9 heures de bus) en
compagnie des anciens de Sucre à l’école des anciens d’une journée je dois vous dire maintenant à bientôt
Benoit et Amélie
7:40am
8:00am-Tous courent pour réserver leurs sièges
Amélie en charge d'une boîte à contribution
Vendeurs de toutes sortes à l'entrée du Stade

À quelques reprises les frères ont dû se mettre à deux pour pouvoir baptiser un candidat, car la piscine était trop basse.
Baptême d'Amy 14 ans, notre jeune soeur de Padilla
Autre nouveau baptisé: David, notre frère aveugle.
Beaucoup d'émotion pour Alejandra-Natalia (à droite avec Keilet) de notre congrégation qui vient aussi de se faire baptiser.
Petit anecdote: J'ai intercepté ce jeune qui flanait sur les étages. Comme il ne voulait pas retourné s'asseoir avec sa mère, je lui ai donc assigné la tâche de plier les programmes de l'assemblée. Il a travaillé pendant près d'une heure sans dire un mot. Ce sera peut-être son meilleur souvenir de l'assemblée.

Philippe Dohm au comptoir du Service d'accueil avant l'ouverture des portes
Autre petit anecdote (désolé pour la photo floue): Abed (droite) à qui nous avions assigné une section comme préposé à l'accueil est venu nous voir pour nous dire qu'un homme prenait des photos des boîtes à contributions. Nous lui avons donc suggéré de garder un oeil sur lui et au besoin d'entrer en communication avec un autre préposé. 10 minutes plus tard il est revenu avec sa caméra...il avait pris la photo de l'homme et il venait nous montrer son visage. Efficace!
Plan du stade, horaires des préposés et retransmission vidéo.
Qui aurait cru que nous serions obligé de chasser quelques chèvres.....
Dimanche après-midi....la concentration ce fait plus dur!
Pendant les deux premiers jours il a fallu expliquer à ce petit garçon qu'il ne pouvait pas se promener dans cette section du Stade.....il a fallu aux frères beaucoup de persuasion.....
Le groupe du service d'accueil avec leurs épouses pendant le dîner: Benoit et Amélie, Christina (USA), Katya et Richard Doucet (QC), Sylvia et Philippe Dohm (FR)
Yves et Marie-Claude Gagnons du Québec, installés à Sucre depuis un an et demi
Notre jeune amie et étudiante de la Bible de notre congrégation Brenda avec Sylvia en arrière plan!!
Sylvia Dohm et Amélie
Lors de notre visite des écoles avec le numéro du Reveillez-vous. Ici, Richard remet un exemplaire à la Directrice.
Richard tout sourire, en attente de sa rencontre avec la mère supérieure.
Merci pour ces magnifiques photos, c'est tellement bon de vous voir, de voir les Dohm, les Gagnon et ceux que nous n'avons jamais rencontré! Je serais prête à refaire ce long voyage pour être parmis vous. C'est l'fun de voir tes notes Ben en Espagnol et Français :)
RépondreSupprimerVous êtes tous fantastiques, que Jéhovah vous bénisse abondamment!
C'est très beau ce que vous faites pour Jéhovah. Un ami qui pense à vous, Yvan, St-Jean-sur-Richelieu, QC
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